Dans un univers qui n’appartient qu’à eux, QOTSA nous livre un opus que l’on sent plus mélancolique, plus doux que les volumes précédents. Quelques morceaux semblent pleins de solitude (Keep Your Eyes Peeled, Kalopsia, I Appear Missing, …Like Clockwork) voire de tristesse. On se sent comme proche de Josh Homme qui se confirait à un ami.