EVERYTHING WAS BEAUTIFUL, AND NOTHING HURT – MOBY

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Le quinzième album de Moby, artiste ultra-complet et politique, est un retour à l’électro qui nous semblait évident. Everything Was Beautiful, and Nothing Hurt passe en flash.

Comme une évidence, cet album rappelle les classiques électros du New Yorkais. On ne s’attendait pas à quelque chose de plus clair. Il y a comme une épaisseur autour de son œuvre. Et pourtant, malgré cette consistance, il n’arrive pas à égaler certains de ces meilleurs titres. On le retrouve dans un domaine qu’il maîtrise. Mais pour ceux qui ont zappé ses deux derniers opus, le changement n’est pas très présent. Comme une suite logique qui ne fait de mal à personne, ce Moby ressemble à du Moby, mélancolique et accompagné de nombreux guests au chant, mais sans offrir beaucoup de nouveauté. À savoir aussi: c’est un album dont le profit des ventes est reversé à la lutte contre la maltraitance animale. Donc on le recommande pour les journées qui demandent de la concentration.

En écoute : This Wild Darkness

Une réflexion sur “EVERYTHING WAS BEAUTIFUL, AND NOTHING HURT – MOBY

  1. Macdophage dit :

    Je suis tombé dessus par hasard quelques jours après sa sortie. Je ne savais pas que Moby sortait un nouvel album.
    Depuis je l’écoute à m’en faire saigner les oreilles.

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